textes d\'un internaute

Quand l'amour devient haine et que les deux se confondent, de je vous aime il ne reste que je vous hais-me. L'homme comme tous les jours est assis sur un banc de bois, devant lui un petit buisson vert, maigre rempart de feuillages, illusion de solitude, écrit-vain de bouts de papiers, parano de ses mots qui se transforment dans le cœur des hommes, ou l’amour prend le goût amer, celui de la haine !
Je t'aime, je vous hais-me, les mots s’impriment dans la rétine, le cœur, l'esprit, sournoisement s’infiltrent dans toutes les fibres de son corps, un cri sort de sa bouche, un cri puissant et inhumain, un cri de primate, zut et re zut un tit noizeau a fait caca sur mon banc !!