Contrôle de police
Contrôle de police...
A la suite d’un repas modérément arrosé dans le centre ville de Toulouse, ma Meuf et moi, sur le chemin du retour, avons croisé des automobilistes qui nous faisaient des appels de phares, en veux-tu-en-voilà..., ce qui me faisait appréhender un contrôle de police sur les grands axes de ma jolie ville ....
Je conseillais ma douce chauffarde de prendre un itinéraire, certes sinueux, mais oh combien plus sûr...
Enfin, je le croyais !
Pourtant, certains chauffeurs qui nous croisaient, s'obstinaient à récidiver, nous
obligeant à emprunter des petites rues toujours plus étroites et sinueuses : une traque dans la nuit noire commençait ; de rues sinistres en ruelles bourbeuses, d'impasses glauques aux pavés luisants, à diverses avenues inondées de lumière, la peur aux trousses, les yeux remplis de haine, les mains crispées sur le volant, accrochant deux ou trois poubelles mises sur notre chemin par des concierges sûrement complices de la maréchaussée, déjouant les pièges mortels de quelques champs de mines, de barrages de chars d’assauts, de deux unitées de commandos parachutistes et trois d’infanteries de marine, les viovions rafale à visées nocturnes et bombes à guidage laser...
(Mais,qu'est ce que je raconte là ,moi ? Désolé pour le petit dérapage il y a des fois,je me laisse entrainer par mon imagination un peu parano)...
Bon, je reprends...
Trente minutes plus tard, nous arrivons devant chez moi, enfin, chez "nous"..., je dis à ma chauffarde personnelle : "Eteins les phares de la voiture, nous sommes arrivés"...
"Pas la peine", me répondit-elle, "depuis le départ je ne les avais pas allumés"...
Je suis sûr, voyez vous, que ce jour là, aucun barrage de police n’a eu lieu dans ma ville de Toulouse....
A la suite d’un repas modérément arrosé dans le centre ville de Toulouse, ma Meuf et moi, sur le chemin du retour, avons croisé des automobilistes qui nous faisaient des appels de phares, en veux-tu-en-voilà..., ce qui me faisait appréhender un contrôle de police sur les grands axes de ma jolie ville ....
Je conseillais ma douce chauffarde de prendre un itinéraire, certes sinueux, mais oh combien plus sûr...
Enfin, je le croyais !
Pourtant, certains chauffeurs qui nous croisaient, s'obstinaient à récidiver, nous
obligeant à emprunter des petites rues toujours plus étroites et sinueuses : une traque dans la nuit noire commençait ; de rues sinistres en ruelles bourbeuses, d'impasses glauques aux pavés luisants, à diverses avenues inondées de lumière, la peur aux trousses, les yeux remplis de haine, les mains crispées sur le volant, accrochant deux ou trois poubelles mises sur notre chemin par des concierges sûrement complices de la maréchaussée, déjouant les pièges mortels de quelques champs de mines, de barrages de chars d’assauts, de deux unitées de commandos parachutistes et trois d’infanteries de marine, les viovions rafale à visées nocturnes et bombes à guidage laser...
(Mais,qu'est ce que je raconte là ,moi ? Désolé pour le petit dérapage il y a des fois,je me laisse entrainer par mon imagination un peu parano)...
Bon, je reprends...
Trente minutes plus tard, nous arrivons devant chez moi, enfin, chez "nous"..., je dis à ma chauffarde personnelle : "Eteins les phares de la voiture, nous sommes arrivés"...
"Pas la peine", me répondit-elle, "depuis le départ je ne les avais pas allumés"...
Je suis sûr, voyez vous, que ce jour là, aucun barrage de police n’a eu lieu dans ma ville de Toulouse....
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