Corrida
Corrida
Tu es venu voir du sang, regardes-en la couleur...
Banderilles et picador, belle passe et esquive...
Habits de lumière et cris de joie, la mort est là...
Un corps qui danse, un autre qui souffre, une odeur...
Naseaux fumants et pointes acérées, olé, ça va saigner !
Sable blond de l’arène circulaire parsemé de gouttes pourpres...
Cris de plaisir, souffle de mort qui retient sa vie, olé !
Frappe dans tes mains, frappe du pied...
Le sang va couler, bien rouge 8
L’habit de lumière, deux pas de côté, danse de mort, cape et escarpins...
La mort est belle avec des paillettes, immense bonheur, hurlement de plaisir...
Un éclair d’acier brille sous le soleil, la bête ne veut pas mourir !
Tu as payé la première place pour un spectacle, vois de plus prêt...
Regarde bien les cinq cents kilos de muscles devant toi...
Ressens-tu la corne qui vient de te transpercer la poitrine ?
Le vois-tu le joli sang qui gicle ?
C’est le tien !...
Tu es venu voir du sang, regardes-en la couleur...
Banderilles et picador, belle passe et esquive...
Habits de lumière et cris de joie, la mort est là...
Un corps qui danse, un autre qui souffre, une odeur...
Naseaux fumants et pointes acérées, olé, ça va saigner !
Sable blond de l’arène circulaire parsemé de gouttes pourpres...
Cris de plaisir, souffle de mort qui retient sa vie, olé !
Frappe dans tes mains, frappe du pied...
Le sang va couler, bien rouge 8
L’habit de lumière, deux pas de côté, danse de mort, cape et escarpins...
La mort est belle avec des paillettes, immense bonheur, hurlement de plaisir...
Un éclair d’acier brille sous le soleil, la bête ne veut pas mourir !
Tu as payé la première place pour un spectacle, vois de plus prêt...
Regarde bien les cinq cents kilos de muscles devant toi...
Ressens-tu la corne qui vient de te transpercer la poitrine ?
Le vois-tu le joli sang qui gicle ?
C’est le tien !...
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